☛ De quoi votre personnage a-t-il le plus honte ? ;
Tanith ne résiste pas aux charmes des inconnu(e)s qui croisent son chemin et qui ce retrouvent vite dans son lit, mais trop peu dans sa vie. Elle a honte de ne pas résister et honte d'en souffrir, cela représente pour elle deux preuves de faiblesse. Elle s'interdit de montrer cette facette d'elle même car pour elle la faiblesse est la pire chose qui puisse être chez un homme.

☛ De quoi votre personnage est-il le plus fier ? ;
La réussite est la plus grande fierté de Tanith. Elle a su en quelques années, malgré son age et le fait qu'elle soit une femme, s'imposer dans le milieu de la Joaillerie à Rome (profession réservé en grande partie aux hommes). Elle est aussi très fière de son corps dont elle prend grand soin, un atout non-negligeable.

☛ Quels sont les points forts de votre personnage ? ;
Tanith est une grande manipulatrice qui n'a pas froid au yeux, elle cerne très vite le caractère des gens qu'elle rencontre, elle devine leurs forces et leurs faiblesses. Elle a aussi la capacité de cacher ses sentiments pour, par exemple, ne pas montrer lorsqu'elle est déstabilisée, ce qui lui donne souvent l'avantage .

☛ Quels sont les points faibles de votre personnage ? ;
Le point faible de Tanith est la solitude. Malgré son grand nombres d'amis et de conquêtes, elle ne parviens pas à trouver l'équilibre et à prendre en main ces sentiments. Elle ne peux s’empêcher de tomber amoureuse, ces envies sont pulsionnelles, elle fonce tête baisser, ce qui peut s'avérer destructeur quand elle ne prend pas le recul nécessaire. Cette instabilité l’empêche souvent de différencier les vrais amis des connaissances.

☛ Que pense votre personnage des Juvenalis ? ;
Tanith n'est pas opposée aux Juvenalis, mais elle ne les défend pas non plus....
Elle aimerait travailler pour eux afin de devenir une personnalité importante de la cité.

∞ 12 septembre 110

Le soleil brille ce matin à Ostia, je ne m'en souviens pas mais mon père me l'a raconté. Ce 26 aout 85, il fait chaud et je viens de naitre. Les quelques années qui suivirent furent tranquille, prospère, quelque peu banale. Nous étions une famille heureuse jusqu'au départ précipité de Maman, à l'automne 91. Je n'ai jamais vraiment compris pourquoi elle est partie, mais je pense qu'il est préférable pour tout le monde de l'ignorer... Après ça, mon père s'est occupé de moi bien plus qu'il n'est coutume à Rome de le faire lorsqu'on est un homme pris par son travail, mais moins que ce que le faisait ma mère. Nous n'avons pas beaucoup parler d'elle après son départ, mais le vide était bien présent, la vie était bien plus fade sans elle. Ayant du mal à me plier aux règles, j’ai décidé d'arrêter mon éducation classique à l'age de 11ans. Cela ne plu a personne, sauf à mon père qui n'avais pas d'avis sur la question, car une jeune fille ne choisie pas ce genre de chose. J'ai alors trouvé mon premier refuge sur les berges du Tibre, j'y est appris à voir la vie autrement, a répondre par moi même aux questions qui me traversées l'esprit et à celles qui me torturais. Je pense que c'est au cours de ces heures passées à admirer ce que fais la nature que met venu ce goût prononcé pour l'art.

∞ 25 septembre 110

La vie à continué son cours toujours dans la même direction, j'ai connu mes premiers amours, mes premières déceptions, qui ne m'ont jamais vraiment affectées. Il faut dire que mes relations son souvent courte ou libertine, surement parce que j'aime profiter de la vie et que je ne comprend pas vraiment ce qui peux tant blessé les gens, pour moi elle est un continuel recommencement. La vie passe, le reste aussi, puis tout recommence… Les gens n'ont souvent pas le même point de vue que moi sur ce genre de chose. Je conserve toujours ma liberté, quoi qu'il arrive, il m'est toujours impossible de me plier aux coutumes de l'empire ainsi qu'au joug d'un mari. Mon père ne m'en veux pas, c'est un homme compréhensif avec qui j'ai beaucoup d'affinité, nous sommes complice, ils nous arrivent souvent de passer du temps ensemble, même s'il est toujours très pris par son travail. Il m'a dit un jour que m'a mère fut comme moi, rebelle et informelle, et que je trouverais mon vrai bonheur un jour …

∞ 17 octobre 110

J'ai quitté depuis peu la demeure de mon père, j'ai réussi petit a petit à me faire un nom dans le milieu de la joaillerie a Rome. J'ai du jouer de finesse et de ruse pour me faire accepter parmi les hommes, qui ont tendances à voir d'abord vos courbes avant votre travail lorsque vous êtes une femme… J'aimerais travailler pour les Juvenalis, mais je ne sais encore comment les approcher. Malgré ma clientèle fidèle, je cherche à faire plus de chose et à étendre mes connaissances dans mon métier, aller vers de nouveaux horizons. Ma réussite et ma prospérité apparente ne font pas pour autant de ma vie un conte pour enfant … Chacun à ses problèmes, mais je ne veux pas m'attarder dessus aujourd'hui, le travail m'apelle...